Insolences
Après un Petit Dictionnaire impertinent*, au format de poche, en 2010, Marcel VOISIN nous revient avec Insolences, addition alphabétique de commentaires philosophiques sans complaisance, d'analyses sans concession, de propos insolents tout en conviction. Celles et ceux qui aiment le soufre de sa plume vont, une nouvelle fois, se délecter, mais aus…
Après un Petit Dictionnaire impertinent*, au format de poche, en 2010, Marcel VOISIN nous revient avec Insolences, addition alphabétique de commentaires philosophiques sans complaisance, d'analyses sans concession, de propos insolents tout en conviction. Celles et ceux qui aiment le soufre de sa plume vont, une nouvelle fois, se délecter, mais aussi se ressourcer.
Marcel Voisin nous avertit d'emblée : « Les dictionnaires nous apprennent que « insolences » (1458) et « insolent » (1485) apparaissent au quinzième siècle qui commence à sortir du dogmatisme médiéval et à voir se lever le soleil de la Renaissance, éclairée par l'Antiquité païenne.
L'insolence, selon le latin, sort de l'habitude, échappe à la banalisation, au convenu. Elle flirte avec l'impertinence, l'irrespect, l'effronterie, mais aussi, paraît-il, avec l'injure ou l'arrogance. Péché de blasphème ? Je me contenterais plutôt de l'insolite qui signe souvent une libération de la pensée, indispensable à la dignité comme à la démocratie. ».