Une pellicule sur la tête d'un pauvre type
Pour Patrick Henin, « les substances aphorisantes » comme il les appelle, sont pareilles à des huiles essentielles. Il suffit d'en verser une goutte dans un coin de la tête, pour qu'elles diffusent, soit leur parfum, leurs images, soit des pensées ou des idées, et parfois aussi une part de mystère. En tout cas, ajoute-t-il en riant, il y en a toujo…
Pour Patrick Henin, « les substances aphorisantes » comme il les appelle, sont pareilles à des huiles essentielles. Il suffit d'en verser une goutte dans un coin de la tête, pour qu'elles diffusent, soit leur parfum, leurs images, soit des pensées ou des idées, et parfois aussi une part de mystère. En tout cas, ajoute-t-il en riant, il y en a toujours plus à l'intérieur qu'à l'extérieur ! Même si Patrick a souvent écrit ses contes, ses fables, ses pièces de théâtre sous des noms différents, « Nous sommes chacun une histoire peuplée de nombreux personnages », il n'en demeure pas moins un écrivain fort singulier.