Parce que...
Revoilà notre petit Nicodème qui, cette fois, est très embêté car, depuis quelque temps, ses parents n'arrêtent pas de lui répéter la même question : « Pourquoi ?» « Nicodème, pourquoi tu ne manges pas tes choux de Bruxelles ? », « Nicodème, pourquoi tu ne réponds pas quand on t'appelle ? ». Face à toutes ces questions, le petit garçon a trouvé un…
Revoilà notre petit Nicodème qui, cette fois, est très embêté car, depuis quelque temps, ses parents n'arrêtent pas de lui répéter la même question : « Pourquoi ?» « Nicodème, pourquoi tu ne manges pas tes choux de Bruxelles ? », « Nicodème, pourquoi tu ne réponds pas quand on t'appelle ? ». Face à toutes ces questions, le petit garçon a trouvé une solution : il a décidé de toujours répondre calmement par un simple (et très énervant) : « Parce que. »
Mais le jour où ses parents le prennent à son propre jeu, en adoptant une attitude similaire, la situation s'inverse. Nicodème prend conscience du problème et va finir par comprendre le véritable sens et l'intérêt du mot « parce que ».